Feery Tales
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 Ronronron~♫

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Maurea
Et ron, et ron, petit patapon

 Et ron, et ron, petit patapon
Maurea


Messages : 21
Localisation : Derrière toi~

Feuille de personnage
Votre âge: quelques dizaine de siècles
Votre devise: Miaou?
Race: Créature magique

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MessageSujet: Ronronron~♫   Ronronron~♫ EmptyMar 2 Oct - 10:23

MAUREA
Royaume du bout de l'ocean

► On ne choisit jamais un chat : c'est lui qui vous choisit. ◄

Ronronron~♫ Ft_fic16


► Nom : Il a disparu
► Prénom : A quoi vous servirait-il?
► Surnom : Maurea... Attendez, laissez moi vous expliquer pourquoi. Comme vous pouvez le voir, je suis un Mau du royaume du bout de l’océan*. Ma première humaine n'a rien trouvé de plus inspiré que de rajouter un "rea". Je sais, on est à de haut niveau d'inventivité.
► Âge : Si vous saviez...
► Lieu de Naissance : Dans un magnifique palais dont il ne reste même plus des ruines, a l'heure qu'il est... -il soupir-
► Sexe : Je suis un mâle, non mais!
► Groupe : Et alors, pas de groupe rien que pour moi? Je suis vexé...

*l’Égypte n’existant pas


Ronronron~♫ Ft_fic13
Sachez, petits impertinents, qu'avant d'être un chat, j'étais un homme. Et qu'avant d'être un homme, j'étais un prince. Parfaitement, un magnifique et beau prince. Le plus beau qui soit, même. J'étais on ne peut plus parfait, que ce soit physique, ou moralement... Ce... Qui m'a valu de me retrouver dans ce corps félin.... Bref, je vous résume tout ça, asseyez-vous donc, je temps que je fasse ma toilette.

Je m'appelais Hasmen, prince de tout un royaume, je me satisfaisais de ma place, vivant dans l'opulence et la richesse. Vous devinerez sans mal qu'une telle vie ne pouvait faire de moi qu'une personne... Difficilement supportable. À peine fus-je arrivé à l'âge de raison que déjà je n'étais qu'une personne hautaine, satisfaite de sa personne et particulièrement matérialiste. En clair, je m'aimais, mais d'une puissance... Jamais un harem n'avait compté autant de femmes. Je ne choisissais que les plus belles, que j'enlevais à leurs familles sans donner quoi que ce soit en échange. Jamais un palais n'avait été aussi étincelant d'or et de pierre précieuse, les murs en étaient recouverts jusqu'au dernier. Oui, même dans les toilettes. Jamais un repas n'avait été aussi gargantuesque que celui qu'on me servait trois fois par jour, alors que je n'y touchais qu'à peine avant de laisser mes serviteurs jeter le reste (ce que je regrette, maintenant que je me nourris essentiellement de souris et de poissons). Orgueilleux, mauvais, égoïste, il ne me manquait aucun défaut pour parfaire le tableau.
La proie préférée des sorcières. Ah, rien que d'y repenser à celle-là....

Ah, les femmes. Je ne pouvais m'empêcher de les avoir toutes. Et de les enfermer, très accessoirement. Que voulez-vous, je n'aimais pas partager, et faire un harem ça prend quelques mois seulement. Cependant je n'ai aimé qu'une fois, mais je vous en parlerai plus tard. Sachez juste que mes goûts restent ceux d'un humain. Oui, vous commencez à comprendre l'envergure de mon calvaire? Il n'est d'ailleurs pas rare que les humaines et sorcières ayant le privilège de m'avoir à leur coté soient d'une beauté rare. J'ai toujours aimé les belles choses, ça n'a pas changé. La seule différence c'est qu'autrefois je cherchais autre chose qu'une grattouille derrière l'oreille de leur part...

Point important qui explique mon coté totalement nonchalant: je suis immortel. Mais vraiment immortel. Au début j'ai pensé que cela s'arrêterait à neuf, puis quand je me suis relevé pour la ving-sixième fois, j'ai compris que cette vielle bique avait mis la dose pour s'assurer que je morfle à jamais. L'éternité à vivre en chat. Oui youpi, fantastique... Tatata! Rappelez-vous que je suis un chat! Vous savez comment les chats font leur toilette? Toute leur toilette, je veux dire? Allez-y, méditez sur la question, moi je m'en vais chasser la souris.

Oh, une dernière chose. J'ai pleinement conscience de mon horrible caractère, et j'ai parfaitement retenu la leçon (vers le second siècle de mon éternité), mais voyez vous, quand on a l'éternité devant soit, ennuyer son monde jusqu'à l'outrance est, de très loin, la chose la plus divertissante qui soit.
Au fait, vous ne voulez pas me gratter derrière l'oreille? Promis, je ne ronronnerais pas trop fort.


Ronronron~♫ Ft_fic14
Pour un oeil averti, il n'est franchement pas difficile de comprendre que je ne suis pas un "vrai" chat. Parce que vous en croisez souvent des chats avec des yeux bleus ciel, vous? En plus j'empeste la magie à deux cent kilomètre, autant dire que les sorcières et les fées me repèrent facilement. Mon regard est la seule chose qu'il reste d'à peu près humain (bien qu'il brille de magie), hormis ma conscience. Ma mâchoire est légèrement différente de celle des autres chats, ce qui me permet de parler autant que je le désirs, faisant grâce de mon intelligence infinie et de mes sages conseils à approximativement tout le monde. Sans parler de ma fourrure, qui, même si elle respire la perfection, n'en reste pas moins différente de celle d'un vrai chat. Mais vous en rendre compte, il vous faut me caresser... Alors, vous voulez-bien me gratter le ventre, maintenant?... Non?
Vous en êtes presque agaçant... Pour la peine, je ne vous ramènerai pas de poisson.

Il va sans dire que ma perfection d'humain s'est décalquée sur mon apparence féline. Je suis le plus parfait et le plus beau des chats. Que dis-je! Même un humain fait pale figure devant tant de grâces, de souplesses, de royautés! Regardez ce maintien de minois parfait, cet air digne et fière, ainsi que ce regard parfaitement condescendant. Et mes moustaches, avez-vous déjà vu des moustaches plus blanches et respirant la santé? Sans parler de mon corps, fin, svelte, d'une souplesse à faire verdir de jalousie n'importe quelle femme. Je cours vite, je saute partout, et je mange autant que je veux sans prendre le moindre poids. Je suis la quintessence de la beauté, l'incarnation même de la noblesse.
Ah, ça devrait être un crime d'être si beau.



Ronronron~♫ Ft_fic15
Ce que je fus autrefois... Hum, pourquoi vous intéressez-vous tant à ce que je ne suis plus ? Puisque, de toute façon, je suis coincé pour l’éternité dans ce corps de chat, pourquoi s’inquiéter de ce qui ne reviendra pas ? Car oui, j'ai déjà essayé, j'ai rampé pour l'aide de sorcières, pour qu'elles puissent rompe le maléfice, mais la magie qui m'enferme est trop puissante. Il faut croire qu'avec les siècles, la puissance des sorcières a grandement diminué, même à dix, elle n'ont pas la moitié de la puissance de celles qui peuplaient mon royaume. Et dieu sait à quel point celle qui me lança ce sort était puissant, cette vielle bique!
Bon, c'est vrai, vous avez bien pris soin de moi ces derniers mois, et je dois avouer que le poisson que vous m'avez offert la veille était particulièrement délicieux. Soit, pour vous, je veux bien raconter mon histoire. Mais sachez que je ne le ferais qu’une fois. Une seule et unique fois, car il n'est pas bon de se complaire dans le passé. Ouvrez grand vos oreilles, ça sera long.

Quand suis-je né ? Il y a bien longtemps de ça, à un temps si reculé qu’il est désormais rare que je rencontre des êtres aussi âgé que moi. Autrefois, dans le royaume de l’autre bout de l’océan, à l’époque ou il avait encore un nom, un nom qui a fini par se perdre, un nom que les féeriens ont trouvé bon de changer. Prince de tout un royaume qui s’étendait de la mer à la mer, je vivais une vie de pacha, mêlant paresse et richesse, dans l’opulence de biens en tout genre. Mon père, le roi, était mort l'an d'avant, et ma mère ne pouvant régner, je pris donc le trône à seize ans à peine.
Tous les souverains ont une mauvaise habitude, c'est un fait la mienne fut... Fut les femmes. Je les aimais toutes, et forcement, je les voulais aussi. Je fis donc construire un grand, un immense harem, achetant ou enlevant toutes celles à mon goût. Bien souvent, je n'y touchais qu'à peine une fois. Vous savez, en avoir autant sous la main, c'était comme avoir devant soi un immense buffet, et puisqu'on veut goûter à tout, bien souvent, on se contente de grignoter
Du moins, ce fut le cas jusqu'à ce qu'elle arrive.

Évidemment, il a fallu que je m'éprenne de la seule femme que je ne pouvais avoir. Elle m'était interdite, cependant je ne l'ai compris que bien trop tard, comme le montre mon sort. Comprenez, elle était aussi belle que le jour, avec ses cheveux semblables à de la soie noire, sa peau aussi douce que le satin, et ses yeux semblables à deux lacs profonds dans lesquels je ne rêvais que de me perdre. Trop belle, bien trop belle, même pour elle-même, c'était là son unique défaut. Car bien sûr, elle était aussi dotée d'une grande douceur, d'une gentillesse sans fin et d'un altruisme à toute épreuve. Elle était mon exact opposé, et je consumais d'amour pour elle. J'ai causé ma propre perte en posant mes yeux sur elle.

Comme je vous l'ai dit, il n'était pas dans mes habitudes d'écouter l'avis des autres, et malgré ses supplications et ses nombreux refus, je finis par la kidnapper et l'enfermer elle aussi dans mon palais, dans la plus haute des tours, pour que personne ne puisse toucher mon plus précieux trésor. Je ne pense pas avoir besoin de vous expliquer plus en détail ce que j'en fis.

Les jours passèrent, et la belle ne fit rien d'autre que pleurer. Je ne comprenais pas, les autres femmes avaient toujours fini par se résigner, pourquoi pas elle? Je lui offris des pierres précieuses, des bijoux et des diamants, des vêtements de reines, brodés d'or et d'argent, et des mets et vins si raffinés qu'on aurait pu les croire divins. Mais rien n'y fit, elle continua de pleurer. J'ai alors remué ciel et terre, faisant venir de partout les objets les plus rares, les animaux les plus merveilleux, les créatures les plus magiques du pays pour revoir sur son visage ce sourire qui avait empoisonné mon coeur, mais rien y fit, elle continua de pleurer des jours durant, refusant de m'adresser le moindre mot, tant et si bien, que mon désespoir se transforma en rage.

Plus les jours passaient, et plus cette fleur semblait se faner, se laissant mourir. J'eus beau faire venir les plus grands apothicaire du continent, autres sorciers et mages, mais ils me dirent tous qu'elle n'avait plus la volonté de vivre. Oubliant mon honneur et mon orgueil, je suis alors allé la voir, la suppliant de me dire ce qu'elle voulait, lui promettant lune et ciel, tout pour qu'elle ne me laisse pas. Mais elle resta sourde à mes paroles, fixant le mur d'un air absent. Ses larmes s'étaient taris depuis un printemps déjà. Et à l'aube de l'hiver le plus froid que mon royaume n'est jamais connu, sa vie me fut arraché.

Je fus dévasté par sa mort. Brisé serait plus exacte, remplis de haine et de colère J'étais persuadé que c'était la faute de tout le monde, et j'en devins mauvais... Puisque je souffrais, tout le monde devait souffrir avec moi. Et il soufra, il soufra bien plus encore qu'on ne pourrait l'imaginer. Il connut la famine, la tyrannie, la ruine et la souffrance, tandis que moi, éperdu de douleur et de rage, je vivais dans l'abondance, mais seul, désespérément seul et dévasté.
Chaque nuit, pour me venger des dieux qui m'avaient enlevé cette femme m'ayant rendu fou, je tuais une de mon harem, si bien que bientôt, il fût entièrement vide. Alors, je décidai d'enlever au peuple une femme par jour, parfois même une fille, pour qu'ils souffrent tous autant que j'avais souffert de perdre mon aimé.
Plus le sang coulait et plus mon âme se teignait de noir, devenant sombre, mauvaise... Assoiffé de plus de victime. Si les choses avaient continué ainsi, probablement aurais-je détruit mon propre royaume. C'est alors qu'à l'hiver suivant, le même jour ou ma fleur m'avait quitté, ce ne fut pas une jeune fille qu'on m'amena, mais une dame âgée, à la peau aussi fripé qu'une pomme trop vielle. Une horrible vielle bique. Je voulus me mettre en colère, mais avant d'avoir le temps de dire quoi que ce soit, la vielle femme prit la parole, d'une voix chevrotante et qui pourtant, me glaça sur place.

Au nom de tout ce sang, au nom de tous ces meurtres, elles avaient décidé de me punir, trop de leurs filles, soeurs, et mère étant mortes sous ma lame. Aussi, avaient-elles envoyées la plus puissante des leurs, celles qu'elle appelait Mamke. De qui je parle? Des sorcières bien sûr! Ces sales pestes! Mamke aurait pu me tuer, si elle l'avait réellement voulu. Et croyez le ou non, j'aurais préféré qu'elle le fasse. L'éternité, c'est long. Car oui, c'est elle qui m'enferma dans ce corps de chat. Je vous laisse deviner à quel point c'est douloureux de sentir tout son corps se changer en une créature aussi... Petite. La douleur fut si forte, que je m'évanouis, et à mon réveil, je n'étais tout simplement plus au palais, mais dans une petite hutte perdu au fin fond du désert, dans une oasis oubliée de tous.

Je n'ai jamais su pourquoi cette vielle chouette me garda si longtemps avec elle, mais pendant un temps affreusement long, je fus coincé avec elle, le temps que mon âme se débarrasse de la douleur et de haine qui m'avait empoisonnés jusqu'au plus profond de mon être. Les racines étaient profondes, et cela prit du temps, beaucoup de temps. Autant vous dire que j'ai eu le temps d'en connaître un paquet sur la sorcellerie et les sorcières.
Les premiers jours furent les plus durent, la douleur, surtout dans ce corps étranger. Je me sentais mal, et je passais mon temps à pester contre cette vielle femme, tout essayant tant bien que mal à me faire à ma nouvelle vision, à mes sens plus aiguisés, mais surtout à l'absence de mains. Je ne cessais de la harceler pour qu'elle me rendre mon véritable corps. Puis les mois sont passés, et j'ai commencé à me résigner, à défaut d'avoir le choix. Comme j'avais enfermé ces femmes pendants des années dans une prison dont elle ne voulait pas, elle, m'avait enfermé de façon plus perfide encore. J'étais emprisonné dans corps de chat, moi qui n'ai jamais pu supporter ces bestioles.

Plus d'une fois, j'ai essayé de m'enfuir, mais j'ignorais parfaitement ou vivait cette vielle folle. Partout où je regardais hors de l'oasis, il n'y avait que du sable, terriblement brûlant pour mes petits coussinets. Je suis donc resté. Et si je la détestais toujours autant, je dus faire avec, n'ayant personne d'autre avec qui parler. Je devins vite beaucoup plus bavard que pendant mon humanité, aimant tout particulièrement me plaindre, ou raconter pendant des heures « quand j'étais prince ». Au fil des années, puis des siècles, ma rancune contre Mamke se dissipa, tandis que la folie meurtrière qui m'avait autrefois habité s'effaça enfin. Redevenu conscient de mes actes, je me rendis compte de ma bêtise. C'est le remord, qui prit la place de la haine.

Les mois sont donc passés sans que je m'en rends compte, puis les années, et enfin les siècles C'est seulement trois siècles plus tard, que Mamke me rendit ma liberté. Elle ne rompit pas le sort qui me retenait captif de ce corps de chat, auquel je m'étais fait, a force, mais m'abandonna en ville, après un bref au revoir.

Retourné à la civilisation, je fus terriblement choqué en apprenant que plusieurs siècles s'étaient déjà écoulés. L'histoire du prince assassin était devenu un mythe parmi tant d'autre, et mon royaume, privé de roi, avait fini par sombrer, annihiler, comme tant d'autre avant lui. Fait étrange, mon monde avait perdu son nom, approximativement en même temps que mon royaume avait cessé d'exister. Il fallut attendre encore de nombreux siècles avant que le nom de royaume du bout de l'océan ne lui soit donné.

Quoi qu'il en soit, bien que coincé sous cette apparence, je n'avais rien d'un chat sauvage, aussi me mis-je très vite à la recherche d'humain pour s'occuper de moi. C'est fou ce que les chats sont aimés. Je n'avais qu'à faire mon regard le plus mignon, ronronner en me frottant contre la jambe d'une jolie jeune fille, pour qu'elle décide de m'adopter. Cependant, je m'étais habitué à l'aura différente des sorcières, et ironique, c'est leur compagnie que je recherchais. Elles au moins n'avaient jamais rien contre un chat trop bavard.
Si j'avais, par la force des choses, accepté ma nouvelle condition (ayant vécu plus de temps en chat qu'en humain), je n'en restais pas moins pourvu d'un fort... Très fort caractère. Je ne suis pas le chatchat à madame, moi. Les sorcières, contrairement aux humains, voyaient d'abord l'humain en moi avant le chat, ce qui évitait les quelque désagrément qu'apportait le fait d'être traité comme un simple animal. Pourtant, deux trois fois, il m'arriva de choisir une simple humaine, mais c'était chose rare.
Je profitais aussi de ma nouvelle condition pour voyager, aussi mes sorcières pouvaient me voir disparaître quelques mois sans s'en inquiéter. Qu'avais-je d'autre à faire que voyager pour tuer le temps? Je découvris beaucoup de choses, et en appris tout autant. Plus d'une fois, je suis retourné sur les ruines de mon ancien royaume, probablement par nostalgie. Mon monde me manque, et même si je me fais à celui-ci, je ne peux m'empêcher de rester rêveur, en repensant à mon époque.

Puis. Il eut la guerre avec les feeriens. Pendant un moment, j'ai bien pensé à quitter le royaume du bout de l'Océan, me cachant dans un bateau, pour aller voir de l'autre côté du monde mais... Je n'ai pas voulu. Mamke devait encore être dans ce monde, et croyez le ou non, j'avais envie de la revoir, cette vielle bique. Au moins pour lui dire ces cinq vérités. Mais ça, ça peut bien attendre encore un ou deux siècles...



Il était une fin
Irl...


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► Un petit mot pour la fin?: Chaaaaaat!



Dernière édition par Maurea le Mer 3 Oct - 10:05, édité 6 fois
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Gabriel Basiel
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MessageSujet: Re: Ronronron~♫   Ronronron~♫ EmptyMar 2 Oct - 14:48

Rebienvenue Very Happy
(il est trop beau ce chat Ronronron~♫ 895778 )
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Maurea
Et ron, et ron, petit patapon

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MessageSujet: Re: Ronronron~♫   Ronronron~♫ EmptyMar 2 Oct - 15:03

Merci Gaby Ronronron~♫ 437277

(n'est-ce pas? Ronronron~♫ 532527 vive les Mau d’Égypte )
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Nathaniel
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MessageSujet: Re: Ronronron~♫   Ronronron~♫ EmptyMar 2 Oct - 16:34

Aaaaw mon minou Ronronron~♫ 532527

Rebienvenue Ronronron~♫ 437277
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